Sam Barretti.

Passeport

Nom : Barretti.
Prénom : Sam.
Âge : 23.
Sexualité : Ambivalent (en réalité, cela dépend de l'entité faisant face à M'sieur Sam).
Nationalité : Italien & Anglais.
Lieu de naissance : Un petit Village nommé Chiaretti, non loin de Calyppe.
Lieu de résidence : Calyppe, Sanctus - si c'est possible?
Situation familiale : Venu seul à Calyppe, Sam a laissé ses frères, ses Pères avec qui il entretien, ceci dit, toujours de très bonnes relations.
Situation sociale : Célibataire pour le grand bonheur de ces Jeunes Hommes de Calyppe...
Classe sociale : Moyenne, tout simplement.
Activité : Musicien et Peintre. Métier peu évident, ceci dit, qui l'amène souvent à devoir prendre de petits jobs d'appoint pour arrondir les fins de mois.
Reflet associé : -
Nom véritable : Omega (S'il est toutefois possible de choisir un nom sans avoir commencé le rp et rencontré son reflet. Ce nom signifierait 'Dernier stade de l'évolution de l'Esprit.' En d'autres termes, la Lumière dans toute sa splendeur, la Vérité tellement recherchées par les Hommes... Même sur notre Terre réelle.)


I. Description physique

Allure : Ni trop grand, ni trop petit, Sam mesure 1 mètre 70. Très mince et vraiment légèrement musclé, il a de longues jambes par rapport à sa taille; et son poids très peu élevé lui donne une silhouette longiligne, ce qui aurait le don de le faire paraître plus grand qu'il ne l'est, si seulement il se tenait droit.
Car il a tendance à marcher de cette façon nonchalante, les mains dans les poches et le dos légèrement courbé.
Son visage le fait paraître plus jeune: une petite bouche, un nez droit et fin et de grands yeux ronds. Il a le teint plus jaunâtre que réellement hâlé, car il passe beaucoup de temps à lire et à écrire, et pas forcément dehors. En réalité, il est assez pâlot.
Cheveux : Sam a pris beaucoup de ses origines Italiennes: ses cheveux épais qui ont une tendance à onduler dés que le temps est humides sont d'un brun presque noir. Il n'aime pas les avoir courts, ni trop longs. Et il n'aime pas non plus qu'ils soient coiffés parfaitement semble-t-il, car ils sont toujours en bataille.
Yeux : De grands yeux... Presque aussi noirs que ses cheveux. Sam a hérité des grands yeux des Italiens... Et les siens sont en plus ronds comme deux billes noires semblant la plupart du temps perdus dans le vague, de telle façon qu'on ne puisse vraiment deviner ce qu'il pense ou ressent - bien entraîné celui qui saura deviner à quoi il pense en regardant son simple regard intrigant. Il semble tour à tour découvrir perpétuellement l'environnement qui l'entoure; et tour à tour sonder au plus profond l'esprit de celui à qui il fait face.
Style vestimentaire : Style vestimentaire simple: jean' de coupe classique - soit plus large soit plus étroit mais jamais dans les extrêmes; chemise unie; ou pull uni lorsqu'il ne porte pas de chemise. Il porte parfois un foulard autour du cou, et chéri par dessus tout les basquettes dans lesquelles il se sent bien. Il lui arrive cependant parfois de porter une veste de complet trois pièces - avec son jean' - ou des chaussures plus classiques.

II. Description psychologique

En général : D'un naturel calme, posé, solitaire, Sam aime rire et plaisanter. Timide alors qu'il était plus jeune, il s'est petit à petit fait au fait d'aborder les gens et le seul vestige qu'il reste en lui de cette timidité passée est sa nature silencieuse, parfois, lorsqu'il est entouré de plusieurs personnes qu'il ne connait pas ou peu.
Rêveur, il a très jeune pris l'habitude de passer des heures seul dans son enfance, ce qui s'avère être un point positif pour son présent: la solitude n'est pas un problème pour lui. Loin de là d'ailleurs, car il la chéri. Pourtant aimant les gens, l'Humain, il fait le choix de s'octroyer des journées - plus parfois - avec lui-même. Et peut disparaître pendant une bonne semaine afin de s'enfermer dans l'écriture, la musique, ses études...


Qualités : - A l'écoute, et observateur, il est capable de s'adapter et d'adapter sa façon de communiquer à approximativement chaque type de personne, comme de milieu social ou culturel. Cela en partie grâce à ses années de collégien et lycéen solitaire: observer les habitudes de langage, de tenue; les centres d'intêret des personnes l'entoutrant, par exemple.

- Sincère et fidèle, il ne trahira jamais ni les sentiments qu'il epprouve pour quelqu'un, ni ne laissera jamais tomber un ami. Ainsi il a souvent été malgrés lui relégué - ou propulsé - au plan de 'responsable du bureau des pleurs'. Et non uniquement par ses amis, mais également par des personnes qu'il connaissait plus ou moins. Chacun venait parler au jeune homme brun à l'air rêveur, de ses petits ennuis, de ses petites peines.
Et quelle que soit la situation, par la suite, même si un ami le trahi, le secret qui fut confié à Sam, lui, ne sera jamais au grand jamais trahi...

- Enfin, Sam aime les choses positives, joyeuses, colorées. Et il affichera tant que possible un visage serein, sinon souriant, afin de ne pas permettre à ses peines et soucis de sortir de son esprit. Il gare ses problèmes pour lui lorsqu'il y en a, et a tendance à préférer régler ces soucis et d'éventuels coups de blues seul... Pour pouvoir être joyeux avec ceux qu'il aime - et les autres.... ce n'est pas parce que l'on ne connait pas quelqu'un qu'il faut lui jeter ses problèmes à la figure.

Défauts : - Sam est tès exigeant. Envers lui-même plus encore qu'envers ses amis. Il ne tolère pas la moindre erreur, ni le moindre faux-pas. Savoir qu'il a fait souffrir une personne est insoutenable pour lui. Il sera rarement satisfait de lui-même, de ses choix ou de son travail - autant dans ses études que dans ce qui se trouve être plus que de simples passions: la Musique, l'écriture, la Peinture.

- Sam est un râleur invétéré! Ses onomathopées et interjections ne concernent bien souvent que lui, ceci dit. Ainsi, en voiture par exemple, gare au passager s'il ne connait pas ce trait de caractère du jeune homme... Qui n'a pas tout perdu de ses chromosomes Italiens - Méditéranéen, donc sanguin quelque-part.

- Et cette mélancolie qu'il traîne partout... Et cette nostalgie! Malgrès son tempéremment à toujours vouloir plaisanter, être joyeux, il y a toujours dans ces yeux et ses idées ce petit 'quelque-chose' qu'il décrit lui-même en s'auto-proclamant 'romantico tragique'. Ce que certains pourraient voir comme quelque-chose de poétique, mais qui peut parfois s'avérer... Ennuyeux pour la majorité des jeunes de son âge qui ne suivent pas ce qui alors se passe dans la tête de Sam.

- Puis Sam est, bien qu'exigeant, imprévisible. Hors mis au travail, il a la fâcheuse tendance à toujours être en retard.

- Enfin, Sam est quasiment incapable de dire ou montrer ses sentiments profonds. Il ne sait les transmettre que via la 'création'. Peinture, musique ou écriture sont autant de média pour lui pour exprimer en matéphores ce qu'il ressent. Mais c'est bien souvent difficile à déchiffrer.

- Le dernier mais pas le moindre; Sam est totalement accro au café et par conséquent, insomniaque. Cela ne paraît pas être en soit un défaut, mais croyez-le ou non, que ce soit par rapport aux cernes que cela lui dessine sous les yeux ou parce-que l'attention est diminuée lors des journées lorsque l'on ne dort pas, cela a un effet direct sur la vie sociale de Sam. Précisons aussi que sans son café, le jeune homme a tendance à être perdu sinon exécrable...

Il aime : La Musique, qu'il considère comme le Langage Universel; les images - photographies, peintures, sculptures, dessins, ou simplement les images de la vie, une ruelle, un couloir, une salle de maison, de cours, un paysage...
Marcher sur la plage ou dans la ville dés l'heure où le ciel se colore d'orangé et de mauve jusqu'à la nuit; écouter les bruits de la la nuit; passer la nuit à discuter avec un ou plusieurs amis; les sucreries; le café; les personnes qui lui sont chères... Mais cela va de soi; les décennies 1950/ 1960/ 1970; conduire sur l'autoroute avec la musique à plein volume; les jeunes hommes minces et grâcieux.

Il n'aime pas : Le côté aseptisé qu'a la musique actuelle; le fait de suivre la mode sans trop réflechir ni adapter son style vestimentaire à sa silhouette ou son genre; la violence; les ragots; les préjugés; devoir faire état de ses sentiments; qu'on l'ennui lorsqu'il a décidé d'être seul; qu'on essaie de le changer.

Biographie

Histoire : "Ce qu'il y a de plus difficile dans un récit, c'est d'en trouver la première phrase. Voilà, c'est fait. Comment commencer le résumé rapide de cette vie que j'ai si longtemps crue remplie de tant et tant, et que je sais finalement n'en être qu'à son commencement?
Et bien, par ma Naissance au monde des conscients. Non par ma naissance en ce monde, qui pourtant est indispensable à la suite. Un bref résumé peut-être afin que je ne semble pas sorti de 'nulle-part'?

Je suis né dans une famille aimante - me semble-t-il - entre deux père de caractère diamétralement opposés. Ils finirent d'ailleurs par se séparer, alors que mon frère ainé était étudiant, mon benjamin tout juste en âge d'apprendre à lire. Moi, je rêvassais. et trouvais tout un tas de points positifs à cette séparation: Papa allait vivre à Calyppe, et Pôpa restait avec nous dans la grande maison de campagne entourée de ce jardin dans lequel je n'ai jamais vraiment joué. Deux maisons, deux fêtes d'anniversaires, deux chambres, deux vies qui se profilaient. Et se construirent, car Pôpa rencontra quelqu'un qui devint mon beau'Pô, et avait déjà un fils de mon âge; et Papa se remaria avec Pap'ète, de cet union naquit un troisième frère; mon 'petit dernier'.

Et moi? Je faisais mon petit bonhomme de chemin. Dessins, d'abord, puis écriture, mais surtout et avant tout, j'héritais de la passion de Papa pour la Musique de sa jeunesse - ou son époque comme il la nomme. Je grandis non pas au milieu des jeux videi et des livres appartenant à la catagorie littéraire nommée 'Héroique Fantaisie' comme mes frères, mais au milieu des sons mélodieux ou improvisés sortis tout droit des decennies 1960/1970. J'avais pour héros, non pas ceux de mes lectures ou de mes jeux, mais de ces jeunes hommes aux cheveux longs, à la virilité très dicutée aujourd'hui et à la silhouette fine et grâcieuse, qui envahissaient les pochettes de disques vinyls... Et ma tête de jeune enfant et adolescent.

Et j'ai passé tout ma vie plongé dans ces mondes que seul moi pouvait voir, en fermant les yeux, à l'écoute de ces merveilles - selon moi bien entendu. Tant et si bien que je n'eut pour amis que mes frères, car mon obsession et mon coté 'intello' pour les garçons de l'école de campagne où j'étudiais, étaient incompréhensibles. Je n'avais que de vagues rapports 'courtois' avec mes camarades de classe... Jusqu'à l'Université. Et là, je découvris avec toute la joie et le sentiment de liberté qui s'empara de moi la vie en ville. Et Sigmund.

Lui, c'était le 'beau gosse' de l'école d'Art, et moi, j'étais le petit nouveau, venu de la campagne et un peu paumé malgrés l'apparence que je tentais de donner. Sig est de deux ans mon ainé, grand, beau, d'origine Germanique, des yeux pourtant aussi bruns que les miens et les cheveux plutot foncés. Les personnes soit l'adminraient soit le jalousaient - et si elles l'admiraient elles cachaient si bien leur sentiment qu'il me sembla qu'il n'était aimé que de peu de monde. Et je compris vite pourquoi le jeune homme de bonne famille mais rejetant toute la lourde morale responsabilisante de son Père était seul chaque soir: sa passion, il la puisait là où je puise la mienne. A la source de l'Art Moderne, de la Musique vivante et organique: il pleurait l'époque entre 1930 et 1970 où tous les artistes, qu'ils furent peintres, musiciens, et surtout écrivains; ne formaient qu'un grand groupe d'amis se retrouvant parfois, à quelqu'endroit du monde... Et où ils travaillaient ensemble sur des projets et idées - voire idéaux - qui n'étaient alors pas encore assaillis par la consommation de masse.

Et l'inimaginable se produit: moi, Sam, qui n'avait connu qu'une brève idylle avec un garçon de ma classe alors que j'étais ado, je m'éprennais de Sigmund. Sigmund qui n'avait pas l'Art pour seule passion, soit dit en passant. Il affectionnait également les jeunes hommes un peu naïfs, un peu superficiels. Nous vécûmes ensemble durant mes premières années d'études, puis fatigué, las de ses incartades, je me sauvais. Et ma réfugiai dans les bras de Klauss - je dois avoir un penchant pour les jeunes hommes de type Germanique - musicien autodidacte et vraiment doué, lui aussi, dans son domaine.
Je passerai sur les détails du mélodrame qui suivit: Sigmund finit par être jaloux, Klauss et moi partîmes pour une destination simple: vivre comme cela se faisait, dit-on, dans les années 'hippies'. Un groupe d'amis: mon rêve depuis tout gosse. Des amis que l'on a depuis l'enfance et qui ne vous trahissent jamais. Un groupe de 'potes', comme disent mes frères. J'ai toujours voulu avoir, comme mes frères un groupe d'amis qui, même si je ne les voyais pas pendant longtemps, seraient toujours là. Mais je n'ai jamais eut cette chance.

Aussi notre petite cohabitation avec Klauss et ses copains m'amena à couper les ponts avec ma famille durant près d'un an et demi, car nous décidâmes de nous retirer dans un camping sauvage, à l'orée de la ville, pour vivre de musique, de joie et de fêtes. Je vécu là l'une des périodes les plus riches de ma vie en terme d'experience humaine: j'avais stoppé mes études, arrêté de travailler, et jeté le téléphone portable. Nous avions chacun notre guitare, notre basse accoustique ou notre harmonica; chaque matin le café était fait dans une casserole sur le feu de camp, et les repas étaient sur le même principe... Un rêve de gosse, nous nommions notre camp 'Le Pays des Merveilles', car par je ne sais quelle opération, nous avions découvert inscrit sur un tronc d'arbre non loin ces mots: 'Chez Alicio'. Cela évoqua le conte en nos esprits.

Cette période fut aussi celle de la découverte des sens, et pas uniquement au sens 'sexuel' du terme. Car tant il est vrai que Klauss et moi étions amants, tant il est vrai que je ne touchais pas aux autres - qui eux étaient libertains. 'Découverte des sens' ou devrais-je dire 'atteinte des portes de la perception', car les amis de Klauss avaient un penchant pour les substances peu recommandées. Et dans le tourbillon qui m'emmenait, j'y goûtai. Pour me retrouver un matin au pied du mur: les autres avaient leur famille qui leur versait de l'argent chaque mois, Université ou non. Moi, je devais travailler, non parce que mes parents étaient pauvres, mais parce qu'ils m'avaient inculqué ces valeurs. Et honteux de devoir aller leur dire que j'avais cessé les cours et consommé tout mon compte en banque pour vivre dehors - plus par peur de leur faire mal au coeur ou de les inquiéter sur le fils si différent des autres qu'ils avaient mis au monde - je n'aurais jamais osé leur demander un centime.

Mais un matin, alors que les autres décidèrent de faire le tour de l'Italie, je me retrouvais coincé. Je n'avais gagné ni le groupe d'amis cherché avec ferveur, ni la liberté: ma voiture attendait à trois pas de notre tente au camping, et elle me sembla être le vestige d'une vie dans laquelle j'étais réellement libre. Réellement libre de pouvoir partir seul une journée, en ville. Libre de pouvoir me payer un sandwich ou un café sans quémander un sous à Klauss. Libre de pouvoir me constituer le confort materiel minimum me permettant d'acceder à la culture, à la nourriture, à l'éducation... Au travail. Libre de créer pour moi, et non pour la communauté, non selon ce que demandait le groupe.

Ainsi je quittai Klauss et les autres, et au bout de tant de mois, j'allais sonner chez Papa, un matin, très tôt. Et ma famille m'accueilli, à nouveau. Je décidai que mon diplôme acquis avant cette aventure suffirait, et enchaînais les petits jobs, jusqu'à ce que j'eus assez d'argent pour m'offrir en plus de ma 2CV, un appartement.
Je n'avais peut-être pas gagné le groupe d'amis tant rêvé, mais j'en avais gagné au moins un pourcent: un ami qui ne me repprocha pas mon départ ni de l'avoir fait souffrir. Un jeune homme avec qui j'avais certes vécu une relation passionnelle tumultueuse, mais qui m'accepta comme son meilleur ami, pour ne pas dire comme son frère.

Et je quittai ma famille, Papa et Pap'ète vivant dans un quartier résidentiel plus que correct pour l'avenir de mon petit frère, Pôpa et Beau'Pa à Chiaretti. Je m'installai à Sanctus, entouré de mes guitares, l'amitié de Sig encore très présente malgrès nos desaccords - il était tout de même celui qui me ressemblait le plus en ce monde."

Quête du Contrat : "Certains vivent en ayant un but. Précis. Comme avoir des enfants, fonder un famille, mener une carrière exemplaire. Moi, je ne vie que pour apprendre. Apprendre en observant, apprendre des autres, apprendre en partageant avec eux. Partager ce qui siège au plus profond de nos esprits. Ce que je traduit, trace, par l'écriture, l'esquisse ou la musique. Ma recherche est celle de cette Lumière, celle que, je sais, nous avons tous en nous, enfouie au plus profond de notre Esprit. Je recherche aussi desespérement la mienne, celle qui m'anime..." -Sam.


Pseudonyme : Luce - Prononcer 'Lu-tché' comme la Lumière en Italien.
Par quel biais avez-vous découvert le forum ? Je cherchais désepérement un forum où je pourrais jouer un personnage masculin... Et de préférence Yaoi et avec un bon scénario. Ayant moi-même ouvert un forum qui ne marche pas du tout, j'ai consulté Google - Ô mon grand Google dis moi où se cachent les fans de Role-Play et d'écriture qui ont de l'imagination et aiment le Yaoi? ^^
Qu'en pensez-vous ? venant d'arriver, non, je ne vois pas... J'ai été séduit de suite par et le design, et la façon dont est tenu le forum, et je ne parle pas de l'idée ^^
Votre présence sera : Régulière, même si je ne pourrai pas passer tous les jours - ♪ travail travail...♫ Si loin-in que la nuit et le jour (oups, ça c'est voyage voyage ^^' ) Mais je passerai - comme sur tous les autres forums où je suis actif - au minimum une fois par semaine pour les rp, et plus souvent si j'ai de petites semaines ;)
Quel est le code ? √