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 Ganistew (finiii)

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3 participants
AuteurMessage
Ganistew Hallow
Chirurgien-accoucheur et autres zoccupations plus ou moins obscures

Ganistew Hallow


Nombre de messages : 13

Feuille de personnage
Calepin de relations:

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MessageSujet: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeMar 15 Mar - 2:58

Passeport


Nom : Hallow
Prénom : Ganistew
Âge : 20
Sexualité : … Ne se prononce pas
Nationalité : Anglais
Lieu de naissance : Londres
Lieu de résidence : Calyppe
Situation familiale : Orphelin, élevé par son oncle avec qui il a définitivement coupé les liens après des relations trop houleuses à son goût.
Situation sociale : Célibataire
Classe sociale : Issu d’une classe plutôt aisée. N’a jamais eu à expérimenter des conditions de précarité extrême.
Activité : A suivi des études de médecine non menées à terme bien qu’entreprises assez tôt (16 ans, juste après avoir décroché son bac scientifique avec les félicitations du jury). Il semble posséder des talents innés pour toutes manipulations nécessitant bistouris, scalpels et autres instruments de torture. Ayant une très large préférence pour la pratique plutôt que pour la théorie, il a saisi l’opportunité qu’on lui offrait de terminer sa formation en commençant à exercer en tant qu’assistant-remplaçant-homme-à-tout-faire-surtout-les-tâches-les-plus-ingrates à l’hôpital de La Conception à Calyppe.
Reflet associé : None
Nom véritable : Callisto (une nymphe aux ascendants divins paraît-il ; étroitement lié à la notion de calice, autrement dit un réceptacle dont la nature du contenu reste mystérieuse. Maléfique ? Divin ? Peut-être même n’y a-t-il pas de contenu du tout…)

Je veux tout savoir de vous !

I. Description physique

Allure : Mesurant 1m65 pour 50 kilos, il compense sa petitesse en prenant autant que faire se peut des attitudes courroucées et ce en toutes circonstances (que ce soit quand on lui présente une compote en guise de dessert pour remplacer un flan prévu ou bien pour obtenir d’un subordonné une faveur… dont la nature ne sera pas citée). Plutôt frêle de constitution, il n’en garde pas moins un certain charme et son aspect androgyne lui a, selon ses dires, été d’une grande utilité pour se faire une place dans la société depuis sa naissance.
N’ayant pas pour habitude de s’exposer durant de longues heures au soleil, son teint est plutôt pâle si bien qu’on peine à le différencier des malades au sein de l’hôpital. Autant dire que s’il ne passe pas inaperçu pour les gens « normaux », au sein des dégénérés il trouve parfaitement sa place et se fond dans la masse.
Bien sûr ce pourrait constituer pour lui une perte de crédibilité fatale mais ses compétences étant socialement reconnues, il a pu conserver jusqu’ici son statut sans trop de difficultés.

Cheveux : Ondulés et bruns, ses cheveux sont entre le court et le mi-long et sont (extrêmement) soyeux, un peu comme des poils de chat persan ; le genre de chose dans laquelle on a envie d’enfouir la tête et les mains au risque de se faire griffer au sang. Un des buts dans la vie de Ganistew est que ses cheveux soient assez longs pour toucher son dos, afin qu’il puisse sentir leur douceur ineffable contre sa peau (mais il n’a aucun problème de mégalomanie).
Bien que cela puisse paraître paradoxal, il fait partie de ces gens qui passent de l’état couché à debout sans passer par la case « salle-de-bains-miroir-à-quoi-donc-vais-je-ressembler-aujourd’hui ». Mais ses cheveux étant d’un naturel plutôt rebelle, le degré de leur fréquence de rencontre avec un peigne n’a pas d’incidence sur l’aspect de l’ensemble.

Yeux : Ses yeux sont bruns aux reflets dorés. Son regard est un de ceux qui semblent percer à vue, qui dérangent sans que l’on puisse mettre des mots sur cette sensation. Comme une impression d’être vu dans ce que l’on est réellement au-delà du masque de l’apparence. Cela peut être également très plaisant dans un cadre plus intime.
Ganistew s’obstine à se mettre du crayon noir aux contours des yeux bien que cela ne fasse qu’accentuer la profondeur de ses cernes qu’il doit à son travail éreintant et ses activités nocturnes inavouées.

Style vestimentaire : Il aime porter tout ce qui de près ou de loin ressemble à un objet métallique (oui oui les aimants aussi, où, c’est un mystère). En dehors de ça il adopte la plupart du temps un look jean-basket hormis dans le cadre de son travail où il consent à revêtir une blouse et à parer ses extrémités de choses en plastique qu’on appelle des gants. Bien qu’il ait essayé maintes et maintes fois d’avancer l’argument de l’accroissement de la pollution planétaire et que donc par conséquent les trucs jetables, c’est pas bien, on lui rétorque que si un éminent médecin a instauré des règles d’hygiène, ce n’est pas pour qu’un avorton prématuré dans son genre vienne tout remettre en question. Que voulez-vous répondre à de pareils esprits étriqués ? Les notions d’esthétisme leur sont totalement étrangères (la survie du patient, quelle importance ?).

II. Description psychologique

En général : Jeune homme réservé, il n’en est pas timide pour autant et son introversion s’apparente plus à un manque de considération quasi total pour ses semblables plutôt qu’à une quelconque crainte du relationnel. Cet état de fait n’est cependant pas irréversible et si un homme trouve le moyen d’ouvrir le cœur de Ganistew, il sera assuré de toujours y trouver une place. Mais un tel individu aura alors la présence d’esprit de bien faire la différence entre une émotion véritable et un simple jeu de manipulation soigneusement calculé.
Car si Stew peut se laisser attendrir par une attitude, celui qui le décevra d’une façon ou d’une autre se verra appliquer une sentence sans appel. Et tant que sa blessure n’aura pas été complètement suturée, il continuera à la triturer frénétiquement, entretenant ainsi le mal et retardant d’autant plus la guérison.

Qualités : Franc, il n’aime pas perdre son temps et préfère traduire directement ses pensées en paroles plutôt que de les ruminer pendant un temps interminable, quitte à sauter des étapes dans le cadre d’une relation amoureuse et à aller directement au but.
Intelligent, cette qualité peut vite se transformer en défaut quand il en profite pour se jouer de ses pairs. Son intelligence s’apparente à une lucidité sur la vie, ce qui est en général assez préjudiciable sur son humeur globale.
Son esprit de synthèse impressionne toujours le peuple. Il n’est pas du genre à analyser chaque minuscule détail d’une situation mais plutôt à l’envisager dans son ensemble et surtout (!) il s’attarde plus à chercher la solution qu’à s’interroger sur le pourquoi du problème. Jusque-là cela s’est toujours montré d’une grande efficacité dans ses entreprises donc il ne voit pas de raison particulière de changer de mode de comportement.

Défauts : … Encore une fois il est franc. Disons que renvoyer directement dans la gueule des gens ce qu’on pense d’eux peut finir par être préjudiciable malgré toute la bonne volonté du monde. Mais ce trait de personnalité constitue plus un défaut pour les autres que pour Ganistew (puisque jusqu’à présent il n’a pas eu le déshonneur de se voir remercié de ses services par son mentor malgré les relations plus que conflictuelles entretenues avec celui-ci).
Narcissique au possible, il est certain de son charme et ne manque pas une occasion d’en profiter quand cela sert ses intérêts. Conséquence ou caractéristique corrélée, l’attachement reste pour lui quelque chose d’assez illogique et inenvisageable. Mais il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas (cette phrase est un peu hors contexte mais contient certainement un semblant de vérité >_<).
Il est resté plutôt petit malgré l’ingurgitation tout au long de son adolescence de soupes, de graines germées et autres absurdités alimentaires censées avoir les vertus de vous rendre beau, grand et fort, ce qui pour lui n’a semble-t-il pas fonctionné à son plus grand dam. C’est probablement une tare relative mais Ganistew chérissant par-dessus tout le fait qu’on le prenne au sérieux, sa constitution physique ne lui facilite pas la tâche.

Il aime : Il éprouve une attirance inexpliquée pour le métal et tout ce qui s’en approche, la ferraille, les barreaux de lit, les bijoux en argent et également le goût du sang (surtout le sien).
Les chats lui inspirent beaucoup de respect. Leur indépendance, le dédain qu’ils affichent quasiment en permanence. Et surtout la façon qu’ils ont de vous regarder qui vous font vous sentir comme le dernier des idiots… Il se sent très proche d’eux, comme d’un alter ego.
Il aime la façon dont, selon le moment, la musique (non pas le métal !) peut générer des sentiments complètement opposés en lui. Il apprécie également l’art abstrait.

Il n'aime pas : Les épinards (la proximité perceptive avec le vomi sans doute…) et puis pour rester dans ce domaine, les graines germées, tout ce qui contient un tant soit peu de légumes, les laitages et également la pastèque (à quoi bon manger quelque chose qui n’a pas de goût ?).
Il a horreur des hommes qui veulent le dominer, le motif de cette aversion étant assez évident. Il déteste avoir des supérieurs au travail aussi bien qu’en privé et il a vite fait de leur rendre la vie impossible.
Il a une sainte horreur de ces êtres horribles qu'on désigne sous le doux nom d'enfants. Il souffre d’un tel écœurement en leur présence qu’il se demande s’il en a jamais été un. Cela lui paraît peu probable car en toute logique, ne pouvant supporter la présence continuelle d’un enfant dont il n’aurait pu se débarrasser hormis pendant le sommeil, il se serait sans doute vu dans l’obligation de mettre précocement fin à ses jours.

Biographie


Histoire :

Blanc. Blanc aux reflets nacrés. Mes yeux s’ouvrent sur une étendue blanche surmontée de patchworks de couleurs éclatantes, aveuglantes. Je ne pouvais alors pas mettre de mots dessus mais le rouge était présent, très présent, trop présent. Tout à mon nouvel état, brusquement soumis au milieu aérien après neuf longs mois à baigner dans le liquide amniotique, je ne m’apercevais pas que la personne qui m’avait donné la vie, celle avec qui j’aurais pu développer un lien d’attachement extrêmement fort… cette personne était en train de se vider de son sang. Hémorragie interne avaient dit les médecins. Surmontée d’une attaque cérébrale. Une vie donnée pour une vie reprise. Pauvre Nathaniel… on ne t’aura donc rien épargné au cours de ta brève existence. Méprisé par ton auguste paternel dont les derniers mots que tu lui avais entendu dire alors que tu venais d’avoir tes 16 ans t’avaient laissé un goût bien amer.

- Un peintre chez les Hallow ! Mais es-tu seulement en mesure de concevoir l’opprobre qui s’abattrait sur nous si cela venait à se savoir ? Crois-tu vraiment que je puisse léguer mes biens et ma fortune à un saltimbanque ? Hors de ma vue fils ingrat !

Sans doute l’art et la noblesse ne font pas bon ménage du même côté de la barrière, même au XXe siècle. Peut-être t’aurait-on encensé si tu avais choisi la voie de la politique ou à la limite de l’oisiveté mais l’art ! Non décidément, hors de question, faire son métier d’une activité non lucrative pour un noble, c’est l’hôpital qui se fout de la charité (« Gilbert un autre Schnaps mon petit »).
Mais les remontrances te laissaient de marbre, les critiques glissaient sur ta peau et venaient alimenter ta palette de couleurs, sentiments que tu t’empressais de jeter sur la toile, riant de tes représentations. Ici, ton père aux prises avec un énorme dollar lui réclamant son âme ; là ta mère exposant deux rangées de dents en diamant derrière lesquelles se cache la puanteur du spectre de la corruption. Lui, il aimait tes peintures, elles le faisaient rire, il soulignait la délicatesse des traits dessinés et les comparaient à la courbe de tes hanches. Sa voix chantait à ton oreille, il te parlait d’amour, tu lui répondais de douceur, il te parlait de famille, tu lui répondais de temps, il était tout pour toi, tu pouvais contempler ta beauté dans ses yeux.

- Et comme nous serions bien tous les trois, imagine ! Ton père t’attendant sur le pas de la porte et accueillant son petit-fils les bras grands ouverts, toi totalement pardonné de tous tes écarts passés et moi, spectateur de cette merveilleuse réunion de famille. Je peux te rendre ta vie, l’amour de tes proches, leur estime. N’est-ce pas ce que tu désires ? Tu ne sais pas le pouvoir réconciliateur d’un enfant…

Tu avais fini par céder, aux bords des larmes bien souvent, doutant de la vie vers laquelle tu t’étais tourné, une vie de misère… Lui disait être sans famille, il clamait s’être fait tout seul et ses poches étaient toujours remplies de monnaie sonnante et trébuchante même si le plus clair de son temps consistait à rester auprès de toi, à te regarder créer. Tu avais fini par céder, à t’abandonner aux susurrements de ton amant et quelques mois plus tard, ton ventre commença à grossir. Cette grossesse engendrait chez toi des sentiments mitigés tandis que lui semblait dégouliner de bonheur. Il se faisait de plus en plus insistant auprès de toi pour rendre visite à l’homme qui te considérait comme un déchet de l’humanité : ton père. Manipulé par des fils invisibles, tu te traînas aux pieds du comte Hallow et lui présentait l’homme de ta vie, ce dernier ayant manifestement décidé que sa main droite était désormais scellée à ton ventre qu’il ne cessait de tripoter ostensiblement. Et que croyez-vous qu’Osiris aurait ressenti si son fils Horus avait été fécondé de la semence de Seth ? Sans doute quelque chose d’approchant à ce que ressentit ton père lorsqu’il s’attarda sur les traits du jeune homme séduisant qui t’accompagnait.

- Et qui crois-tu tromper en te présentant dans ma demeure, Adras, suppôt de Satan ?, rugit le comte dont la voix était devenue haletante.

- Archibald, je suis ravi de vous revoir. Voyez-vous, il y a de cela pas plus de 3 jours, mon père et moi-même nous entretenions à votre sujet en des termes peu révérencieux, je l’admets.

- Petit…

- Evitons les termes qui fâchent cher ami. Ton regard passait frénétiquement de ton père à ton amant et finit par se poser sur ton ventre dans lequel reposait le fruit d’un amour défendu, moi. Laissons cela aux petites gens. Dites-moi plutôt, la saveur de la honte qui doit en ce moment emplir votre bouche est-elle à votre goût ?

- Hors d’ici vous deux… fulmina Archibald, les yeux injectés de sang.

- Que se passe-t-il ? avais-tu hasardé d’une petite voix. Adras… De quoi est-ce que vous parlez ?

L’interpellé se décida à détacher son regard du comte vieillissant et esquissa un sourire sardonique vers toi.

- Tu aurais dû écouter ton père, mon chéri. La politique et les relations sociales, c’est très intéressant. On a très vite fait de ruiner la réputation de toute une lignée aristocratique.

De ce que tu avais compris, Adras n’était autre que le fils d’un homme important qui n’était pas vraiment dans les petits papiers de ton père. Les deux hommes se vouaient une lutte implacable et ce serait à qui démolirait l’autre. Loin de lui les nobles intentions des héros de « Roméo et Juliette », il s’était dit que souiller le sang pur de toute une lignée en y introduisant la semence de sa progéniture serait un bon moyen pour passer devant son adversaire auprès du gratin et autres bouchées à la reine de la société.
Réduit au silence à l’aide d’un chèque affichant de nombreux zéros, Adras choisit de s’évanouir dans la nature, allant ainsi à l’encontre de la volonté paternelle.
Effondré, il était trop tard pour toi pour recourir à la médecine et te débarrasser de moi, petite boule de chair qui te rappelait sans cesse à ta condition pitoyable. Heureusement, on ne t’a pas fait attendre longtemps et quelques mois plus tard tu décédais en couche, me libérant de ma prison de chair et par le même coup t’évadant de la prison morale que tu t’étais construite.

Sa constitution fragile, mon père me l’avait transmise et chaque pas que je faisais ne constituait pas pour moi une preuve de mon existence mais simplement un instant de plus sur cette terre, qui me rapprochait un peu plus de mon extinction prochaine. C’en est presque drôle. Le fait de perdre un parent à l’orée de ma vie avait été pour moi une raison de plus pour lutter pour survivre. Et surtout ne pas perdre de temps. Trouver un sens, vite, à tout ça. Qu’avais-je donc pu faire de répréhensible dans une vie antérieure pour qu’on m’afflige d’un destin aussi noir ?

Après la mort de Nathaniel, son frère Ferencz, mon oncle, se proposa pour prendre soin de moi, avec un peu trop d’entrain pour que cela soit désintéressé. Les premières années de ma vie se passèrent sans trop d’encombres même si Ferencz semblait déployer tous les efforts possibles pour m’empêcher de me lier avec des garçons de mon âge, chose qu’il était déjà difficile de réaliser pour moi, étant d’une nature peu loquace et introvertie. Au fur et à mesure que je grandissais, je prenais de plus en plus conscience que l’homme qui m’avait élevé était loin d’être un individu prévenant et attentionné. Ce que je prenais pour des marques d’affection n’étaient rien d’autre que des actions parfaitement orchestrées, un moyen d’entretenir ma dépendance à son égard pour, à la fin, me posséder. Si bien que j’arrivais à l’âge de 10 ans complètement ignorant des choses de la vie et de l’amour. Je savais à peine nouer mes lacets et la logique sous-tendant les horaires de mes prises médicamenteuses restaient pour moi un mystère inaccessible. A cet instant j’éprouvais encore pour celui qui allait être mon bourreau une affection bien qu’elle fût mêlée de crainte. Sans doute une partie de moi qui essayait de me prévenir de la suite des événements. Mais comment voulez-vous qu’un enfant de 10 ans, un enfant qui n’a qu’une personne sur laquelle s’appuyer et qu’il se trouve que c’est justement cette personne qui menace de le faire s’écrouler ; comment aurais-je pu changer quelque chose ?

Un soir, je rentrais de l’école et Ferencz m’attendait comme à son habitude, assis à la table, le couvert dressé, un sourire un peu trop éclatant affiché sur son visage. J’avais eu un entretien avec mon professeur au sujet de mes études. Bien que n’étant encore qu’en primaire, au vu de mes capacités nettement au-dessus de la normale, l’instituteur avait cru bon de se pencher attentivement avec mon accord sur ce que serait la suite de ma formation. Cela faisait maintenant plusieurs mois qu’il avait déposé ma candidature dans un pensionnat peuplé exclusivement d’élèves surdoués. L’enseignement était adapté à leurs capacités hors du commun et les professeurs avaient à cet effet suivi une formation spéciale les préparant à entrer en relation avec leurs élèves, leur apprenant la psychologie des enfants précoces, leur mode d’interaction avec le monde et la façon de les amener à appréhender la réalité (entre autres choses). Les professeurs apprenaient à s’adapter au rythme et aux demandes des enfants tout en ne perdant cependant pas de vue le programme scolaire censé amener les chers petits bambins jusqu’à l’âge adulte sans trop d’encombres et visant avant tout à les faire s’insérer dans la société (point trop de fantaisie s’en faut).
En cette matinée de printemps, mon enseignant m’informa donc que mon dossier arrivait en tête sur la liste d’attente et que mon tuteur n’avait qu’un mot à dire pour que je puisse avoir l’insigne privilège de rejoindre les bancs de cette école.
La journée ayant été donc particulièrement bonne je m’apprêtais à en faire part à Ferencz quand il me devança :

- Ton professeur m’a téléphoné aujourd’hui. Il n’est pas question que tu ailles dans cette école.

Le souffle coupé, je sentais les larmes me monter aux yeux à une telle nouvelle mais je m’empressais de les ravaler pour ne pas lui afficher l’étendue de ma faiblesse et demandait du ton le plus nonchalant que je pus trouver la raison d’une telle opposition. Il invoqua des raisons superflues telles que la distance, le coût (alors qu’il avait de l’argent à foison, car contrairement à son frère Nathaniel, lui avait embrassé des chemins bien moins obscurs et avait préféré se cantonner à des activités politico-financières, bénéficiant par-là de la bénédiction paternelle et surtout, surtout de la fortune familiale), mon jeune âge… Autant de raisons futiles à mes yeux, qui cachaient une sombre motivation.

Le soir, ce même jour, Ferencz vint me trouver dans ma chambre. J’avais pleuré de longues heures, à son insu croyais-je, et mes yeux étaient gonflés de larmes, mes draps trempés de ce liquide salé. Il s’approcha de moi et me caressa la joue. Un toucher qui me fit horreur, un sentiment de dégoût m’envahit à ce contact froid, cette peau moite contre la mienne. Je sentais l’odeur de la sueur et mes muscles se contractèrent. Immobile, je ne pouvais plus bouger.

- C’est pour ton bien, Stew ; tout ce que je veux c’est le meilleur pour toi.

Il passa une main dans mes cheveux puis descendit le long de mon buste, plus bas, toujours plus bas, déboutonnant lentement les boutons de ma chemise au passage, son attention restant fixée sur une partie de mon anatomie que j’aurais préféré garder à l’abri des regards…

- Nous n’avons besoin de personne d’autre. Toi et moi ensemble… unis par un secret, par un lien particulier…

Je pouvais sentir son souffle sur ma nuque, sa bouche effleurer ma peau, provoquant des frissons d’horreur. Il pressa sa main contre mon dos, ce qui me fit relever brusquement les yeux. Il s’avança et m’embrassa, sa bouche paraissant vouloir m’engloutir tout entier. Il maintint ma tête d’une poigne ferme, tenant de l’autre main mes bras encore chétifs, empêchant par là mes mouvements de recul. Sa langue pénétra à l’intérieur de ma bouche, le mélange de nos deux salives me provoquant des remontées gastriques proches du vomissement. Il n’en continua pas moins son jeu pervers et posa ses mains sur mon dos pour me faire basculer en arrière, m’allongea sur le lit tout en continuant de m’embrasser, sa bouche descendant sur mon menton, mon cou…

Je vis dans un rêve, un rêve où ton fantôme m’accompagne…

A partir de ce jour nos rapports devinrent froids. Les sourires se firent complètement inexistants sous le domicile familial et chaque fois que Ferencz le pouvait, il trouvait le moyen de me rabaisser, de me dominer, de me montrer à quel point j’étais faible et dépendant de lui. Ma tentative de m’affranchir de son autorité avait été vécue par lui comme une rébellion intolérable.

Il continua à me rendre visite dans ma chambre et il me posséda à maintes reprises physiquement. Je sentais son emprise se refermer sur moi peu à peu et ma volonté propre disparaître sous le joug de cet homme à qui je vouais une admiration sans faille mais totalement dénuée de respect.
Mon attitude de plus en plus renfermée ne manqua pas d’attirer l’attention et mon grand-père Archibald finit par arracher des aveux à son cher fils. Estimant plus que tout ses compétences et le considérant comme irremplaçable au sein de l’entreprise familiale, il choisit de m’éradiquer de sa vie, moi qui décidément n’avait causé que des ennuis à cette famille que la vertu n’étouffait pas. Evitant une fois de plus que le déshonneur ne s’abatte sur le clan Hallow, il choisit de puiser dans la caisse et de m’offrir cette place dans l’école que je convoitais tant, croyant s’acheter par là mon silence et, cerise sur le gâteau, toute ma gratitude.

Et tandis que les couleurs se déguisent en printemps ma honte me prive de toute pureté…

Les années avaient passé comme on dit et j’avais réussi à atteindre l’âge de 19 ans, en étant le premier surpris. Après avoir obtenu mon diplôme de fin d’études avec les honneurs, j’avais entamé une formation en médecine que je payais en me faisant entretenir par tous ceux qui voulaient bien de moi. Mon pigeon du moment était un fils de bonne famille qui suivait lui-même des études de droit, poursuivant par-là la route tracée par papa, grand-papa et d’autres avant eux sur plusieurs générations. Il s’appelait Host, 17 ans, surdoué tout comme moi, à son grand dam. Un jeune homme délicieux, élancé, aux cheveux blond cendré, avec qui je partageais ma passion pour le métal (et il est bon de préciser que je ne parle pas du genre musical). Son frère aîné (le vil) tenant une boutique de piercings et tatouages faisant fureur à Calyppe, il avait senti très jeune une envie irrépressible de recouvrir son corps de chaînes et de piercings, le peu d’espace de peau restant ayant été envahi de tatouages, à l’exception du cou.
J’aimais énormément son cou. J’aimais passer du temps à le contempler, à suivre de l’index les contours des formes kabbalistiques représentées sur son corps … ou de la langue. Je crois qu’il avait de l’affection pour moi aussi, du moins suffisamment pour me laisser faire de lui mon jouet quand il m’en prenait l’envie, sans jamais me demander la réciproque. Sans doute savait-il que je ne le supporterais pas.

C’était lui qui m’avait parlé de ce poste à pourvoir dans la ville même où vivait son frère. Sans doute était-ce un moyen pour lui de me garder plus près de son cœur, Calyppe créant un lien entre moi et sa famille. Pure folie. Il s’agissait d’une formation professionnalisante, entre le stage et l’entrée dans le monde du travail. Ma liberté de mouvement serait encore très réduite pour les deux ou trois prochaines années mais par la suite mon mentor relâcherait la bride jusqu’à ma titularisation, ce que je ne pourrais m’empêcher d’attendre avec impatience. Encore un moyen d’enchaîner la chèvre en lui montrant plus loin la belle étendue d’herbe verte qui l’attend. Mais qu’importe. Je préférais de loin pouvoir mettre en pratique ne serait-ce qu’infimement les connaissances assénées pendant ces trois années que de devoir moisir encore cinq ans dans cette école à attendre la bave aux lèvres qu’on veuille bien me laisser mettre la main sur un cadavre décrépi.
A l’hôpital « La conception » à Calyppe, m’avait-il dit. Conception… bien sûr je serai capable d’exercer le métier d’accoucheur. Mais par ce biais, ne pourrais-je pas accoucher de moi-même ? Donner la vie… pourrais-je endurer une telle réalité alors que j’avais échoué à maintenir vivants ceux qui étaient chers à mes yeux ?

Peut-être ne le pouvais-je pas, mais il me fallait essayer.

Quête du Contrat : Chercher une réalité, ma réalité.

Qui se cache derrière l'écran ?

Pseudonyme : Delmin
Par quel biais avez-vous découvert le forum ? Sur un top site. Il n’était pas mal placé d’ailleurs <_<
Qu'en pensez-vous ? Le style « ici vous pouvez réaliser ce que vous voulez » m’a poussée à m’inscrire. Parce que, et c’est ma conviction profonde, c’est la fonction première de l’écriture que de s’inventer une autre vie, c’est un moyen de fuir aussi.
De la musique où ça ? Ô_o Le design ben c’est rose quoi… mais c’est rose parme ça aurait pu être pire… rose bonbon !
Votre présence sera : Irrégulière sans doute, à mon plus grand désespoir et avec toutes les plates excuses que cela implique.
Quel est le code ? Y a bon


Dernière édition par Ganistew Hallow le Lun 16 Mai - 15:03, édité 1 fois
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Abahel

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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeMer 30 Mar - 23:57

Helló !

Hmm, tout d'abord, mes plus plates plates plaaaaates excuses pour ce délai de réponse bien long...
Bocsánat.

Passons à la fiche. ^-^

Il y a certains choses qui ne collent pas tout à fait, à vrai dire. Mais on va faire ça dans l'ordre (ou du moins essayer).

Tout d'abord, la naissance de ton personnage. Il est dit que le père meurt à l'accouchement, et que le tonton prend le gosse en charge, okay. Mais le second père, où est-il? Mort, disparu..? On n'en parle même pas, à croire qu'il s'agit de l'immaculée conception...

Ensuite, ton bambin. Certes, il peut être très intelligent, voir surdoué. Certes, il peut potentiellement intégrer une école spécialisée pour ce genre d'enfant. Mais envoyer un gamin de 10 ans à l'autre bout du monde seul alors qu'il est dit que le dit gamin est très dépendant de son oncle, cela me laisse pensif. De plus, une telle école pourrait effectivement être plus adaptée pour de tels enfants, mais un établissement qui propose à ceux-ci de ne travailler que ce qu'ils veulent et qui lâchent des jeune adultes (ou vieux adolescents) de même pas 20 ans dans le monde du travail pour des emplois qui nécessitent une petite dizaine d'année d'étude... Là, je doute fortement que cela existe. Car des enfants qui attaquent leurs études pro à 12 ans, c'est peu probable. Même surdoués, ils restent des enfants et ont une certaine maturité à gagner, d'autant qu'il ne savent pas forcément ce qu'il veulent et que c'est en découvrant des matière auxquelles on ne pense pas qu'on peut aussi découvrir sa voie, ou a moins apprendre à se connaitre.

Pour ce qui est du relationnel, notamment entre l'oncle et ton personnage. Que ton oncle s'occupe du gosse en créant une relation malsaine d'exclusivité, soit. Qu'il saute sur l'occasion de cette prétendue rébellion contre son autorité suprême quand le gamin veut faire cette école pour craquer total et péter un câble, à la rigueur. Par contre, pourquoi ce premier abus est-il décrit comme amoureux et doux, et les autres par la suite comme froids, plus les humiliations et autre? Pourquoi ce revirement soudain et brusque de comportement, alors que si c'était contre la rébellion du gosse, cela aurait été logiquement aussi vrai pour le premier? (Du moins, il me semble).

Autre chose, tu dis que l'un de ses professeur remarque le changement et remue ciel et terre pour que l'oncle soit mis sous les verrous. Okay, c'est cool. Mais que devient l'enfant? S'il est incapable de vivre seul, pourquoi l'envoyer dans cette école? D'autant qu'il me semble douteux l'hypothèse que l'état débourse de sa poche les frais (importants) pour une telle entreprise, et au profit d'un gosse sans famille. Tiens, d'ailleurs, il vit avec quoi, quel argent?

Et enfin, comment ce jeune futur avocat de 17 ans (Hem!) connait-il La Conception ? Ce n'est pas l'hôpital le plus connu, pas la ville la plus connue, c'est à l'autre bout du monde par rapport à l'endroit où il se trouve... Et puis, tu dis que le-dit hôpital a engagé Ganistew parce que les médecins compétents se font rares... Personnellement, un médecin qui fait fi de toutes les lois sur l'hygiène toussah en ne mettant ni gant, ni masque, alors que c'est la base même de la pratique médicinale, je trouve ça profondément incohérent.

Hmm, dernière chose, mais là c'est plus de l'administratif : pourrais-tu mettre aussi le nom de famille de ton personnage à ton pseudo, s'il te plait? Je n'avais pas relevé avec la demande de rang en pensant que tu n'étais pas fixé à l'époque, mais maintenant que c'est fait, je te demanderais de modifier ça. Et à propos de la demande de rang... Je n'ai pas vu les trucs "et autres zoccupations plus ou moins obscures" ni quoi que ce soit qui pourrait y être assimilé dans ta fiche ou ton histoire... Alors pourquoi? =o

Je crois n'avoir rien oublié, navré pour ce retour tardif et toutes ces fausses notes que j'ai dut souligner, j'espère néanmoins que cela t'aidera. =)
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Ganistew Hallow
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeSam 2 Avr - 21:44

Merci beaucoup pour toutes ces indications, sorry je n’ai pas bien l’habitude des forums (ça doit être le gnnn « mémoire ô ma mémoire où t’es-tu enfuie ? » oui le troisième que je fais) mais non non je n’essaie pas de me trouver d’excuses ^o^

Donc pour reprendre… Pour ce qui est du second père, je ne l’ai pas précisé, mais dans ma tête il était assez clair que le sympathique bonhomme avait quitté son compagnon, le laissant dans une situation pas très enviable. Pour ce qui est de ses motivations, c’est plutôt de l’ordre de « Et si on faisait un enfant ? Aaah non finalement je ne veux plus, désolé, mon chéri, débrouille-toi tout seul ». Le truc cliché il est vrai.

Effectivement de telles écoles n’existent pas (en tout cas pas à ma connaissance… les écoles Montessori ne sont pas à ce point-là…). Ce serait plus de l’ordre du rêve personnel du style et si on naissait directement avec un cerveau tout formé et tout et éventuellement le souvenir de ses vies antérieures histoire de perdre moins de temps ? Après si ce n’est pas possible d’insérer un truc impossible de cet ordre je pourrai modifier et le faire aller dans un simple internat. A ce moment il n’aurait pas encore fini ses études et se ferait engager avec diplôme falsifié à l’appui (pas crédible non plus ? maaaais)
Après, le fait qu’on l’envoie tout seul là-bas ne me semble pas impossible (si si c’est quelque chose qui se fait assez couramment que d’envoyer de jeunes enfants dans des sortes de … oui des pensionnats, ça leur apprend la vie paraît-il même si les avis sont partagés sur cette question)

Et si mon perso est surdoué, il vient également et surtout d’une famille de gros bourges ayant les moyens de corrompre quiconque un tant soit peu intéressé par l’argent. Oui mais alors comment se fait-il qu’une telle famille ait laissé la pauvre petite chose aux griffes de son affreux vieil oncle ? Eh bien qui dis grosse fortune dit aussi brebis galeuse perverse et insoupçonnable dans la famille (du vécu ? naaaaan). Et après, mais cela reste mon avis personnel, qui dit argent dit pot-de-vin et dit « allons messieurs soyons adultes et fermons les yeux sur cette affaire qui nous ferait du tort à tous… arrangeons-nous donc en coulisses ». Autrement dit les relatives (puisque je ne trouve pas le mot en français) du garçon préfèrent lui payer une école bien bien chère faraway et oublier jusqu’à son existence plutôt que d’avoir à le prendre directement sous leur aile et risquer que l’affaire ne soit découverte par leurs « amis » très haut placés qui pourraient ruiner très facilement leur réputation pour des motivations obscures.

En parlant d’obscur, pour ce qui est des autres occupations de Ganistew c’était plutôt une sorte d’humour flou que quelque chose de concret et bien pensé. Je pensais voir ça au fur et à mesure. Enfin, c’était histoire de dire que la situation n’était pas figée et qu’elle pourrait évoluer selon les possibilités qui se présenteraient…

La relation entre Ganistew et son oncle est assez ambivalente et c’est ce que j’avais essayé de faire transparaître. En fait je suis intimement convaincue que les hommes qui ont hum… une attirance certaine pour les petits garçons éprouvent en réalité de l’affection pour eux mais qu’ils ont une manière de l’exprimer qui n’est pas… adéquate. Je ne sais pas, ils ont peut-être eu un bug dans leur parcours développemental ou autre mais du coup c’est tout l’aspect relationnel qui est chamboulé et ça peut donner des changements d’attitudes radicaux d’un moment à l’autre. Mais ce n’est que mon humble opinion ^__^ Donc dans le cas présent, pour moi, la tentative d’émancipation de Ganistew avait ouvert une brèche dans ce petit cocon à la fois protecteur et malsain et avait blessé son oncle, qui avait alors laissé libre cours à ses émotions. Par la suite, l’oncle aurait repris le contrôle de lui-même et de la situation et aurait resserré la vis de manière à ce que Ganistew n’essaie plus de se rebeller contre lui (oui, je n’ai pas dit qu’il était cohérent hein…).

Effectivement il est difficile d’expliquer comment son amant connaît l’hôpital La Conception. Je pourrais toujours essayer d’invoquer le fait qu’il a de la famille là-bas qui l’aurait informé (puisque n’est-ce pas, les étudiants de cette école imaginaire viennent des quatre coins du monde). Mais bon, ce serait tiré par les cheveux et doublé d’une explication a posteriori, donc pas très honnête.
Reste le plus irrationnel… qu’il soit engagé par un hôpital averti de sa tendance à négliger les règles d’hygiène. Dans mon souvenir j’avais indiqué que la médecine manquait de personnel en général et donc pas forcément compétent… Après mieux vaut avoir un médecin intelligent et qui ne met pas de gants qu’un médecin qui met des gants et… enfin c’est vrai qu’au niveau déontologique c’est discutable XD

Bon, je pense avoir passé en revue tout ce que tu as noté… Pour les points incohérents et si certains que j’ai expliqués te paraissent encore obscurs, est-ce que tu pourrais me le dire ? Je modifierai ma fiche en conséquence >_<
Ah oui ! Et pour modifier mon pseudo je... fais comment ? TwT
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeLun 18 Avr - 15:46

My God! Et j'avais râté cettte fiche? je veux un rp avec vous, m'sieur d'origines Anglaises!! Votre personnage a des similitudes physiques avec le mien semble-t-il... Aurions-nous été inspiré du même personage - du moins pour le physique? - j'aimerais rencontré un autre jeune homme aux cheveux en pagaille... (non je ne suis pas prénommé Narcisse... Et ne suis absolument pas obsédé par ceux qui partage avec moi une ressemblence - aussi vague soit-elle... )

ravi de vous rencontrer...
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Abahel

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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeLun 18 Avr - 20:59

Helló !

Navré d'avoir à nouveau tardé, mon disque dur ayant grillé, j'ai eu quelques difficultés à gérer...
Bocsánat again!

Mais me voilà, n'en déplaise à l'informatique malveillant!

Le second père, il faudrait au moins signaler qu'il s'est barré vite fait dans l'histoire, ça aidera à situer le contexte. Idem pour les explications sur le financement et les tabous familliaux, on comprend tout de suite mieux quand c'est dit comme ça.

Pour l'oncle, euh, mouais, admettons. Pourrais-tu dans ce cas l'aborder d'une façon un peu moins sibylline dans ton récit également? Cela permettrait de mieux poser le personnage.

Pour l'Hôpital, hmm, à mon avis la solution de l'amant qui a de la famille là bas sera le moins capillotracté, donc pars là dessus. =)

J'oublie un truc, non?

Euuh.. Oui!, L'école! Hmm, retourne s'il te plait à quelque chose de plus réaliste genre internat, effectivement. Quitte à ce que ce soit une école où effectivement on adapte l'enseignement aux personne comme lui, mais avec malgré tout : un enseignement général solide, et un cursus plus standardisé/ Les enfants qui attaquent leur études sup' à environs douze ans, encore une fois, je trouve ça plus que discutable. XD

Si tu veux qu'il reste jeune, tu peux toujours marquer qu'il a lâché par exemple ses études de médecine en cours (s'il attaque admettons à 18 ans, il a de quoi avoir appris vaguement quelques trucs, je suppose) et qu'il cherche à se faire embaucher dans le corps médicale avec un truc falsifié, ou même genre pour compléter des études professionnalisantes... Je ne sais pas, y a un truc à trouver là dessus (je ne suis pas sûre que le cursus que je viens d'aborder soit cohérent aussi XD)

Voilà, n'hésites pas à me dire si je n'ai pas été assez clair et navré encore pour ce retard
.
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeMar 19 Avr - 20:25

*Avance à pas de velours*
Abahel ton perso il est trop sexy j'en puis plus x)
*s'en va discrètement et se fait tout petit de son flood honteux*
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeVen 6 Mai - 19:11

Bien reçu chef ! Je vais tâcher de m'y mettre dans les prochains jours (oui je viens de me rendre compte seulement aujourd'hui que tu avais répondu depuis le 18 Avril et oui je suis sans doute un peu à la ramasse mais je me soigne ^_^)

Ah oui j'oubliais : pourrais-tu me dire comment changer le nom de mon perso ? >_<
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeVen 6 Mai - 19:14

Ah oui, pardon!
J'avais oublié ce détail!
Hmm, je vais m'en charger, ne t'inquiète pas pour ça (je comptais le fair,e mais j'ai zappé ensuite XD)


Donc voilà, maintenant tu t'appelles Ganistew Hallow pour ta prochaine connection =)
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeLun 16 Mai - 15:05

'a y est, fiche rééditée.
En espérant que son contenu vous siéra *s'incline bien bas*
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitimeMar 24 Mai - 21:19

Yosha!

Navré pour ce loong délai une fois encore >>

J'ai bien tout lu, tout tient la route, rien à modifier.. Bravo, tu es validé ! *entend mentalement la chanson de victoire de FF*

Tu peux dès à présent rp cher petit !
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MessageSujet: Re: Ganistew (finiii)   Ganistew (finiii) I_icon_minitime

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